Stress oxydatif, stress clinique, QPM
Le stress oxydatif ;
Processus physico-chimique, aboutissant à de nombreuses perturbations métaboliques aussi bien dans la cellule que dans le milieu interstitiel que dans les caractéristiques propres aux liquides circulants (comme le pH intracellulaire, extracellulaire ou interstitiel).
Tous les travaux récents en biologie moléculaire et en génétique insistent sur le rôle majeur de l’oxydation dans les processus de vieillissement, dans la cancérogénèse ou encore dans diverses pathologies lourdes (Alzheimer, Parkinson, infarctus du myocarde), mais aussi mettent en avant l’action dégénérative du stress oxydatif sur l’ADN.
La caractéristique essentielle du stress oxydatif en milieu vivant consiste dans la présence de radicaux libres oxygène sous différentes formes chimiques (hydroxyle, peroxyde, super oxyde) dans la cellule et à l’extérieur de celle-ci, cette présence induit une modification des valeurs normales du pH qui peut être mesurée par des moyens biophysiques simples.
La seule réaction chimique au niveau atomique de l’oxygène radicalaire avec ses composés possibles induit une différence de potentiel allant de 0,48V à 1,60V.
L’ion hydroxyle étant le plus toxique de part sa thermodynamique et sa cinétique spécifique intervient de manière quasi exclusive dans le couple oxydo-réducteur ou potentiel redox tissulaire et cellulaire.
Ces agents dits « oxydants » sont de nature multiples ;
· Alimentaire (graisses, toxiques, métaux lourds).
· Anomalies enzymatiques de la super oxyde dysmutase « appelée SOD ».
· Stress clinique capable par les modifications neuro-humorales induites de venir interférer de manière forte sur les processus d’oxydation ; ainsi un taux de sérotonine circulant au niveau sanguin trop élevé va induire une dégradation de l’activité de la SOD
· Traumatismes physiques répétés
· Le stress clinique.
Il est en correspondance avec un niveau soit extracellulaire soit intracellulaire de l’atteinte.
Le stress clinique
Il est défini par le niveau global de réaction d’un individu à une agression environnementale.
Cette réaction est de nature adaptative et met en branle une suite de comportements sous-tendus par des réactions chimiques multiples où les neuromédiateurs jouent un rôle prépondérants (sérotonine, dopamine, adrénaline, acétylcholine pour ne citer que quelques uns des plus importants). Le relais est ensuite prit par des molécules comme le cortisol ou les prostaglandines.
Le stress clinique va induire de manière naturelle un stress oxydatif, et va pouvoir donc se mesurer sur des zones précises tissulaires et tégumentaires comme une variation du pH et donc du couple redox.
Ce couple redox est directement lié (équation de Cottrell) à la bio-conductivité des tissus vivants, quand ceux-ci sont soumis à un courant faible de 1,28V (travaux de Reinhardt Voll).
En situation normale, sans stress oxydatif, la bio-conductivité des tissus est de 100KOhm ;
En situation inflammatoire la bio-conductivité augmente pour aller jusqu’à 1KOhm, on note à ce moment une acidose extracellulaire et on parlera alors de stress oxydatif extra cellulaire.
En situation chronique, ou de stress prolongé, les capacités de la SOD
Le niveau de stress clinique peut donc être mesuré à partir du moment où un courant faible peut parcourir le corps avec certaines caractéristiques très précises (en particulier temps d’impulsion de l’ordre de 15ms pour ne pas perturber ni l’homéostasie du milieu intérieur ni modifier la mesure).
Ce stress clinique est soit global, soit local intéressant pour des raisons précises certaines zones corporelles (ces zones corporelles sont contrôlées par voie fréquentielle par le système limbique)
Ainsi une technologie mesurant la bio-conductivité point par point du corps, de manière fiable, peut mesurer le niveau de stress clinique, le niveau de stress oxydatif, et la répartition de ces zones en stress extra ou intra cellulaire ou alors vérifier l’absence de stress oxydatif,
Chose que fait parfaitement le système QPM.
Le système QPM
Il consiste en l’injection successive sur l’un six points contacts (pieds, mains, front) du corps d’un micro courant de 1,27V pendant une durée de 12ms, et de récupérer de manière simultanée le dit micro courant sur l’un des 5 points contacts restants.
Cette mesure est répétée trois fois durant le cycle de mesure, aboutissant à un total de 540 mesures biophysiques durant le temps de la mesure.
Il s’agit donc de 30 dérivations électriques traversant des zones résistives du corps précises, le recueil des données en Ohm, va ensuite être transmis à un système expert appliquant des algorithmes de conversion, tenant compte aussi bien du facteur distance entre deux électrodes (la distance main-pied est différente de la distance front gauche-front droit…) que de la dispersion du signal électrique dans un milieu inhomogène.
Le résultat obtenu, après analyse croisée des dérivations, est une mesure point par point de la bio-conductivité des téguments, ramenée pour les besoins de l’analyse à un peu moins de deux cents zones corporelles identifiées.
Ces zones sont ensuite intégrées dans des calculs de circuits et secteurs corporels précis (les circuits de régulation bioélectroniques, les centres de régulation bioélectroniques et secteurs holographiques du corps).
Par la suite QPM à émis une « validation empirico-analytique à-priori » des décodages obtenus, puis à l’issu d’un nombre de cas importants, à put apporter la preuve de ce modèle de décodage, réalisant ainsi une « validation empirico analytique à-postériori » qui est le propre de la validation en sciences humaines mais aussi en « sciences qualitatives ».
En annexe; bibliographie et article détaillé
Principales lois physiques applicables à l’organisme :
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Les bases scientifiques de QPM
Ø Loi de la relativité : A.Einstein
Auteur célèbre de la loi de la relativité, le plus grand physicien du XXème siècle, a apporté une explication au terme « énergie », qui n’est toujours pas entré dans le langage médical occidental.. L’énergie est à la base de la médecine chinoise.
La loi de la relativité a permis de comprendre que le temps et l’espace sont indissociables, contrairement aux théories de Newton. Il n’y a pas de temps et d’espace : seul subsiste un continuum espace –temps. Ceci est très important pour comprendre la physique atomique, et rejoint les calculs de l’équation de Schrödinger au sujet de la fonction d’onde : La fonction d’onde ne donne pas l’image de la particule, ni sa position. Elle représente la probabilité de trouver la particule au point de l’espace-temps particulier où la fonction d’onde est calculée.
E=mc2, explique que l’énergie se transforme en masse donc en matière et vice versa L’énergie est à la base de la matière vivante et donc indispensable à son fonctionnement, à sa bonne santé et les perturbations d’énergie (augmentation ou diminution soit hypo ou hyper fonction) aboutissent à la maladie et l’absence à la mort. De ce fait le monde médical ne peut plus ignorer « L’énergie » qui est à l’origine de la matière vivante. Ne pas l’admettre, est nier l’existence même de l’être humain.
Les recherches sur le cerveau ,admettent aujourd’hui que la transmission les informations cerveau-corps ne peuvent s’expliquer par des réactions biochimiques, qui ne peuvent en aucun cas expliquer la rapidité de la réponse Seul la théorie d’ondes électromagnétiques partant du cerveau(matière) circulant à la vitesse de la lumière et distribuées à travers le corps pour obtenir la réponse sous forme de mouvement(énergie) peut expliquer la rapidité des réponses. Il s’agit bien de l’application de la loi de la relativité E=mc2 à la matière vivante.
Ø Propriétés colloïdale de la matière : T.Graham
a) Etat colloïdal :
En 1861, T.Graham découvrit un nouvel état de la matière intermédiaire entre l’état des molécules minérales et celui de la matière vivante. L’état colloïdal est un état permanent commun à des particules très diverses (métaux, matières grasses, cellules...), permettant de garder leurs propriétés dans un milieu commun. C’est la communauté idéale tant que la protection colloïdale est suffisante, sinon c’est la floculation : les particules s’agglomèrent entraînant la destruction du système.
b) théorie colloïdale de la vie et de la maladie.
Les perfectionnements optiques, physiques et chimiques ont permis d’observer que l’intégralité du corps humain, à l’exception des phanères, c’est-à-dire des cheveux, poils et ongles, se compose de particules infiniment petites, toujours en mouvement, chargées électriquement, tenues en suspension, le tout formant ce qu’on appelle l’état colloïdal.
La caractéristique physique essentielle, presque unitaire, de l’état colloïdal c’est l’animation perpétuelle de ces particules unicellulaires (agglomérat de molécules semblables de 0,001 à 0,3µm, appelées micelles),cette agitation étant due aux charges électriques que portent ces particules et à l’action du champs magnétique terrestre(W. Krauss,1979).
Les observations répétées ont montré que si pour une cause quelconque, les micelles électrisées perdaient leur charge électrique, elles cessaient de se mouvoir et précipitaient. De même, il a été constaté que si pour une cause quelconque, leur mouvement était ralenti ou arrêté, les micelles perdaient leur charge électrique et précipitaient.
Il résulte de tout ceci que du maintien constant de ce double facteur physique indispensable : mouvements-charge et charge-mouvements des micelles, dépend la pérennité de l’état colloïdal biologique et que l’atteinte de l’un ou de l’autre de ces facteurs d’existence entraîne immanquablement l’altération des colloïdes, c’est-à-dire la précipitation micellaire.
Les investigations électro physiologiques ont permis d’établir la constante correspondante entre :
- d’une part, le parfait état colloïdal d’une partie de la matière biologique (tissus, cellules, liquides) et sa participation à l’activité physiologique;
- d’autre part, la non-participation à l’activité physiologique de toute partie de matière biologique présentant un état dégradé.
Il a été mis en évidence que toute matière biologique prélevée sur un organisme cliniquement et biologiquement sain est dans un état colloïdal préservé, alors qu’au contraire, toute matière biologique correspondante, prélevée sur un organisme cliniquement et physiologiquement malade, présente des altérations colloïdales.
Toute la physiologique et toute la pathologie s’éclaire à la lumière de cette notion : l’état colloïdal conditionne la vie et la floculation des colloïdes humoraux et cellulaires détermine la maladie et la mort.
Ø Loi d’Ohm ou biophysique de la mesure électrique de la peau
Le corps humain possède généralement un résistance de 100 KOhm.
Le courant I = voltage U
Résistance R La loi d’Ohm ne peut être appliquée que conditionnellement au système biologique. Le terme de conductibilité est certainement plus correct, car il prend en compte le changement des données parallèlement à l’augmentation de la conduction. Les recherches récentes prouvent que le courant trouve un cheminement à travers les liquides organiques (sang et lymphe) et même à travers les cellules, ce phénomène de diffusion permet de donner des indications sur les zones de moindre résistance, et de haute résistance ce qui permet le diagnostic des zones traversées sous forme d’hypo fonction, physiologique, et hyper fonction.
La seconde caractéristique du courant test qui est envoyé par l’intermédiaire des électrodes est de séparer les électrons et les ions. Cette séparation permet de mesurer la conductivité. Ces paramètres sont considérés comme une caractéristique intégrale du système colloïdale avec son potentiel qui sous l’influence du voltage test polarise et mesure les valeurs, ainsi les mesures électrique de la peau résultent de l’état d’agrégation de l’organisme
Ø Utilisation du principe de la résonance magnétique nucléaire en biologie :
Le Dr Raymond Damadian, mathématicien et bio-physicien du centre médical de l’université de l’Etat de New-York, a étudié la résonance magnétique des protons des molécules d’eau dans les cellules vivantes.
Il a montré que ces protons, lorsqu’ils font partie d’une cellule cancéreuse, ont un temps de relaxation différent des protons de tissus sains. Tous les tissus sains ont, en effet, des temps compris entre 0.26 et 0.9 seconde, tandis que les mêmes tissus atteints de tumeurs contiennent une eau moins liée qui demande entre 1 et 1.5 seconde pour effacer les effets d’orientation du champ résonant. Par comparaison mécanique, on pourrait dire que l’application de la RMN
Le Dr R. Damadian arrive à la conclusion que les molécules d’eau dans un tissu cancéreux ont un comportement différent de celui de molécules d’eau dans un tissu normal.
L’eau est selon lui, la composante principale de toute cellule et les molécules d’eau forment des dipôles, c’est-à-dire des ensembles formés de deux charges électriques ou magnétiques égales et de signes opposés.
Dans une cellule saine, les dipôles s’alignent le long des champs électriques crées par les ions (atomes ou groupements d’atomes portant une charge électrique) à l’intérieur des cellules, dans un ordre correspondant à la structure cellulaire. Dans la cellule cancéreuse, il y a perturbation des charges électriques et une désorganisation de la structure de la cellule
Les travaux du Dr Damadian confirment tout à fait l’explication bio-électronique de la genèse des cellules cancéreuses.
Ø La théorie des foyers et champs de troubles :
Vihrov pense que toute maladie est causée principalement par des changements de la cellule et de la structure organique. Ces changements sont conditionnés par une dysfonction pathologique qui s’est révélée longtemps avant le développement d’un processus local.
Les travaux de X. Pflaum (1979-1982) montrent que les années de désordres fonctionnels dans la régulation humorale et neurale sont suivis par des maladies. Ainsi la véritable thérapeutique étiologique des maladies devrait remonter aux dysfonctions qui l’ont précédé.
Ainsi, des patients avec des pathologies chroniques résistant à tout traitement, peuvent présenter des foyers ou champs de troubles
Ø Méthode du Dr Voll
-Electro acupuncture suivant le Dr Voll :
Elle a servi de base à la réalisation du DDFAO ,elle a été amélioré par les découvertes de physiciens ,chimistes, ou médecins tel que VINCENT ,FROHLICH et PRIGOGINE ,et les progrès technologiques et informatiques ont permis de réaliser un diagnostic encore plus pointu en 3 minutes.
Ø La bioélectronique : L.C.Vincent
“l’électrotitotion” peut-être expliqué de la façon suivante : un générateur produit une série d’impulsions. Les pôles négatifs et positifs sont reliés à deux électrodes ayant un contact d’électro conductivité avec la peau. Le champ électrique crée une zone polarisée sur la peau entre les deux électrodes, ce qui occasionne un changement bioélectrique des tissus. Le flux d’électrons du générateur se transforme en courant d’ions.
Dans la région de l’électrode positive, on peut trouver une accumulation d’ions négatifs. Dans la région de l’électrode négative, on trouve une accumulation d’ions positifs. L’accumulation des ions au niveau des pôles génèrent une charge électrique. Ainsi les ions et les charges se disséminent autant qu’ils s’accumulent et se distribuent dans la direction des deux électrodes.
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